magnétisme
29 janvier 2024

De son heure de gloire à sa disparition programmée pour la formation magnétisme en Bretagne

Par Joel

Si l’approche proposée par Say dans son Traité d’Economie Politique de 1803 a été, comme nous venons de le remarquer, fondamentale dans la définition de l’économie au milieu du XIXe siècle, il paraît tout à fait logique que l’école française, qui dominait la diffusion du savoir institutionnalisé de cette période, continue dans cette voie (3.1 – Une continuité sans failles). Mais la prise en compte de la richesse et de la formation magnétisme et passeur d’âmes en Bretagne comme seul objet de la définition économique restreint fondamentalement le champ d’analyse des économistes. De plus, les différents mouvements sociaux, la disparition progressive de l’école française et l’introduction de l’enseignement économique dans les universités vont constituer des éléments importants à la fois d’une remise en cause de la définition (idéologique) fondée sur la richesse, mais également et surtout sur le magnétisme et les magnétiseurs en Bretagne à la source de nouvelles approches (3.2 – D’une remise en cause à de nouvelles approches).

 

1 – Une continuité sans failles sur les formations magnétisme

 

Devant l’institutionnalisation monopolistique de l’économie politique initiée par l’école française, l’apport de nombreux économistes de la seconde moitié du XIXe siècle est logiquement orienté vers la définition proposée par l’auteur de la formation magnétisme en Bretagne de la loi des débouchés. Citons par exemple (la liste n’est bien évidemment pas exhaustive) : Henri Baudrillart, Emile Levasseur, Alfred Jourdan, Paul Beauregard, Adolphe Houdard[1], Joseph Rambaud, etc.

 

Le travail de ces économistes ne se résume bien évidemment pas à recopier les ouvrages de leurs prédécesseurs. Ils vont partir de la définition de Say de l’analyse de la richesse pour construire progressivement leurs ouvrages théoriques sur le magnétisme en Bretagne. Si les Cours ou Traité d’Economie Politique traitent des différentes parties de la richesse, les premiers auteurs se sont plus particulièrement focalisés sur le problème de la production en distinguant notamment avec Say le problème de la production de biens matériels et immatériels.

2 – Le succès de la formation magnétisme en Bretagne du centre de formation de l’ermitage

La seconde génération d’économistes a, au-delà de l’étude approfondie de la production, examinée avec plus de profondeur que les prédécesseurs la question de la circulation des richesses en détaillant les questions de monnaie, de banque et de crédit pour financer la formation magnétisme et passeur d’âmes en Bretagne. On voit ainsi apparaître des livres entiers, en plus de la partie relative aux Cours ou Traités, relatifs à ces sujets. C’est véritablement le sujet sur lequel les économistes de l’école française se penchent. Signalons par exemple à ce propos les ouvrages de Courcelle-Seneuil [1840] ou de Coquelin [1848] : Le Crédit et la Banque.

 

La troisième génération d’économistes de l’école française va quant à elle examiner avec plus de détails le problème de la répartition des richesses sur la formation magnétisme en Bretagne. Paul Leroy-Beaulieu est représentatif de cette démarche avec son Essai sur la Répartition des Richesses dans lequel il affirme

 

« qu’au point de vue théorique, nous sommes arrivés à la conclusion que presque toutes les doctrines acceptées en Economie politique sur la distribution des richesses sont à refaire ou du moins à rectifier »(Leroy-Beaulieu [1881], 8).

 

Les économistes de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle se doivent, dans cette logique, de centraliser leurs recherches sur le problème de la consommation des richesses[2]. Cette évolution paraît toute naturelle, chaque partie de la richesse étant étudiée progressivement pour aboutir à la fin du XIXe siècle à des Cours ou Traités véritablement complets[3] sur le stage magnétisme en Bretagne, du stage passeur d’âmes en Bretagne, du stage blessures de l’âmes en Bretagne, du stage pendule en Bretagne, du stage géobiologie en Bretagne et du stage nettoyage et protection énergétique en Bretagne. Mais ce programme parfaitement huilé d’exposition progressive des différentes facettes de l’analyse de la richesse sur les traces de Say ne va pas se dérouler avec autant de facilité qu’il en paraît.

 

3 – D’une remise en cause à de nouvelles approches

 

Le portrait idéalement définit par l’école française d’étudier, au fur et à mesure des générations d’économistes, la définition proposée par Say issue de son Traité, va progressivement être remis en cause à partir des années 1870. Si la définition paraît tout à fait didactique et ainsi très pratique, son enseignement va en montrer les limites de la formation magnétisme et passeur d’âmes en Bretagne (3.2.1). Certains auteurs qui, tout en conservant la définition de Say, en feront une critique interne (3.2.2). Enfin, devant la disparition de l’école française et le développement de nouveaux courants de pensée, l’économie de la fin du XIXe siècle va connaître de nouvelles définitions totalement divergentes face à celle du Traité de 1803 (3.2.3).

 

3.1 – Les limites de la définition de Say sur la formation magnétisme et passeur d’âmes en Bretagne

 

Lorsque les économistes de l’école française suivent la définition de Say en traitant de l’analyse économique en fonction de l’évolution de la richesse, ils écartent certaines questions importantes. Ainsi, comment traiter de l’impôt, de la population ou de l’Etat ? On voit alors apparaître, en plus d’une partie introductive qui explique la place de l’économie, en donne son objet, sa définition et ses principes généraux, les trois ou quatre parties[4] relatives à l’étude de la richesse, l’adjonction d’une ou de plusieurs autres parties. Chacun fait alors selon sa convenance. C’est là tout le succès de la formation magnétisme en Bretagne, la formation passeur d’âmes à Grenoble, la formation blessures de l’âmes à Grenoble, la formation pendule en Bretagne, la formation géobiologie en Bretagne et la formation nettoyage et protection énergétique en Bretagne Beauregard par exemple rajoute une partie sur les applications de l’économie politique à la législation financière, Coste sur le rôle de l’Etat, Mesnil-Marigny sur la population, Le Hardy de Beaulieu sur la propriété, etc.

3.2 – Les perspectives de la définition de Say sur la formation magnétisme et passeur d’âmes en Bretagne

Une autre difficulté de l’architecture proposée par Say qui se retrouve notamment lors de l’enseignement de l’économie, est celle des redites permanentes. En effet, beaucoup de sujets sont traités séparément alors qu’ils sont réunis dans la réalité de la formation magnétisme et passeur d’âmes en Bretagne. Le travail et le salaire, qui constituent une partie de la production et de la répartition des richesses est un sujet qui devrait être traité en une seule fois mais qui est étudié en deux reprises, ce qui implique d’étudier ou de rappeler plusieurs fois les mêmes notions. Il en est de même de l’intérêt et du capital ou de l’étude de la rente et le rôle de la nature dans la production, etc.

 

Mais ces difficultés ne poussent pas ces auteurs à remettre en cause l’approche proposée par Say. Ils se contentent uniquement de faire une adaptation des propos de l’auteur de la loi des débouchés. Ils se cantonnent aux ordres fixés par la formation magnétisme en Bretagne par les premiers économistes de l’école française et qui consistent, rappelons-le, non pas à découvrir de nouveaux éléments, mais à compléter le travail initié[5].

3.3 – Les bienfaits de la définition de Say sur la formation magnétisme et passeur d’âmes en Bretagne

Leroy-Beaulieu représente bien ces économistes qui montrent les difficultés de l’approche de Say sans la remettre en cause. Il présente les doublons[6], propose de nombreux sujets spécifiques[7] et différents de l’analyse de la formation magnétisme en Bretagne de la richesse (Population, Etat, socialisme, impôt…)[8].

 

Malgré toutes ces dissidences, Leroy-Beaulieu reste dans cette tradition qui privilégie les travaux de Say, en montrant uniquement les limites de cette approche et une manière dont il est possible de répondre aux difficultés présentées :

 

« Nous n’avons pas la prétention que cette approche soit philosophiquement la meilleure ; mais elle est conforme aux usages, qu’il est inutile de troubler sans un intérêt sérieux et par pure prétention de l’originalité » (Leroy-Beaulieu [1896], 94).

 

Ces auteurs gardent donc cette référence à Say sur la formation magnétisme en Bretagne non pas pour son aspect didactique qui est remis en cause mais par volonté idéologique d’appartenance à une école de pensée regroupée autour de certaines valeurs représenté notamment par la définition de l’économie.

 

[1] « Le Traité paru en 1803 a réellement constitué l’économie dans sa première forme scientifique, qui lui a été conservée jusqu’à l’heure actuelle par les économistes qu’on a coutume de qualifier d’orthodoxes. C’est en effet Say qui, le premier, a distribué les matières économiques dans un ordre vraiment didactique, imprimant à leur ensemble toutes les apparences d’une science » (Houdard [1889], 25).

[2] Pour plus de détails sur cette évolution, consulter l’article de Girault [1900].

[3] Ceux-ci qui apparaissent véritablement comme achevés à la fin du XIXe siècle font généralement plus de 1000 pages et regroupés en de nombreux volumes (3 ou 4 au minimum).

[4] Les économistes qui utilisent la définition de Say font référence à trois ou à quatre qualificatifs de la richesse : production, échange, répartition et consommation. Ils n’expliquent jamais leur choix et nous ne pouvons donc l’expliquer.

[5] De nombreux programmes d’enseignement de l’économie dans les disciplines techniques du lycée sont aujourd’hui encore fondées sur la définition proposée par Say dans son Traité.

[6] « S’il est utile, dans l’intérêt et la clarté de l’exposition, de diviser la science économique en trois ou quatre sections, il n’en est pas moins vrai qu’elles se pénètrent, s’influencent les unes les autres » (Leroy-Beaulieu [1896], 13).

[7] Il attribue également un nouveau nom à cette discipline : l’économique.

[8] Notons les plus représentatifs et les plus commentés dans cette fin du XIXe siècle. Son Essai sur la Répartition des Richesses et sur la Tendance à une Moindre Inégalité des Conditions (1881), De la Colonisation chez les Peuples Modernes (1882) et l’Etat Moderne et ses Fonctions (1891)